Qui suis-je ?
Juliette Ledoux, originaire des Sables d’Olonne en Vendée littorale et très attachée à cette incroyable nature.
Après une panoplie de métiers différents et 12 années de voyages dans le monde entier, j’ai pu découvrir des valeurs fortes, une humanité touchante et un monde riche en aventures et en dépassement de soi.
Ces découvertes couplées à mon amour des animaux, à la nature, à la spiritualité, aux plantes, à la cuisine, à la création et à bien d’autres passions m’ont ouvert les yeux sur le lien qui anime tous ces sujets pourtant bien différents. Et c’est de là qu’est né Callune.
Aujourd’hui, je suis naturopathe certifiée pour humains et animaux, cueilleuse et herboriste.
Mon parcours professionnel récent
Diplômée de l’Ecole Plantes et Santé naturelle de Nice, naturopathie pour humains et animaux - Formation certifiante
Diplômée de la formation “ Comprendre et lire les messages du corps ” d’Audrey Besson - Formation certifiante
Diplômée de l’Ecole Supérieure d’Agriculture d’Angers, productions horticoles et botanique - Formation certifiante
Titulaire de l’ACACED - Attestation de Connaissances pour les Animaux de Compagnie - Formation certifiante
Mon histoire personnelle de guérison
Et l’histoire de mon corps, de ma santé et de ma guérison ?
Il s’agit d’une histoire de douleurs et de désespoir, de migraines lancinantes à s’en taper la tête contre les murs, de sciatiques à répétition qui te clouent au lit pendant une semaine entière, de fatigue chronique puissante et quotidienne, de cheveux qui tombent par poignées, d’acné juvénile qui pullule, de kystes ovariens de la taille d’un oeuf, de lumbagos XXL, de régimes restrictifs où seul du riz blanc et des carottes ne créent pas de douleurs, de pensées pas très folles où le deuxième cerveau tire les ficelles, de gencives qui se rétractent et de contraceptions douloureuses et inadéquates. Et tout ça pendant près de 15 ans.
Et à tout cela s’ajoutaient.
Des pertes de confiance en la vie, des espoirs anéantis en un claquement de doigt, des recherches infinies pour trouver LA solution, des croyances erronées, des schémas répétitifs, des personnes malintentionnées, des grands discours qui nous promettent monts et merveilles, des personnes souffrants de la même chose qui nous disent qu’il n’y pas de solution, des médecins qui nous prennent pour des sauvages, des week-ends ratés car crise inflammatoire au programme, des organisations de l’extrême pour simplement aller boire un verre sans douleur, etc.
Et connaitre cette descente aux enfers depuis ses 20 ans, ça peut paraitre fou non ?
Mais je savais que je ne devais pas lâcher. Que la solution était là, quelque part. Et si vous me lisez, c’est que cette histoire est peut-être aussi la vôtre, symptômes similaires ou non.
Et pourtant, j’ai connu une enfance douce et saine où ma famille m’a appris les bases de la médecine naturelle et de l’alimentation vivante. J’avais toutes les cartes en mains pour être bien. Néanmoins, mon corps a crié à l’aide pendant toutes ces années sans que je sache réellement quoi faire. Et ce n’est en rien la faute de ma famille. Il m’ont appris ce que j’avais besoin d’apprendre. Je n’ai juste pas su m’écouter. Je devais écouter mon âme et mon corps. Et j’ai préféré écouter mon mental.
Me laisser aveugler par ces modes et tendances diététiques, ces images d’atrocités animales qui m’ont rendue végétarienne, ces régimes à n’en plus finir pour évincer gluten, lait et sucre, ces nettoyages de foie, ces jeûnes intermittents et ces compléments miracles. Et malgré tout cela, les symptômes étaient toujours là et ils étaient de plus en plus puissants.
Je touchais le fond. J’avais tout essayé. Je disais que j’avais tout essayé.
Et puis, il y a eu LA prise de conscience.
Le jour où mon corps a clairement dit STOP. J’étais clouée au lit et je ne pouvais rien faire à part ralentir et essayer de me reposer malgré la douleur. Je me suis alors rendue compte d’une chose. Je n’avais pas écouté la bonne personne. J’aurais dû écouter mon corps. Juste lui.
Et la solution était là, à l’intérieur de moi. Il s’agissait juste d’entamer un véritable retour à soi et découvrir ses besoins véritables.
Parce qu’au final, on le sait tous : le corps ne ment pas. Il est le seul à savoir ce dont il a besoin.
Car pour retrouver la santé sur le long terme et peut importe la pathologie physique ressentie, le corps a besoin d’énergie pour réguler son métabolisme et guérir. Il s’agit d’une super machine qui fait extrêmement bien le travail tout seul et il serait bien trop complexe et arrogant de vouloir le faire à sa place.
Mais on peut bien sûr l’accompagner dans sa guérison : l’écouter dans ses douleurs et ses envies, apprendre à le comprendre en découvrant son fonctionnement et lui apporter ce dont il a besoin pour qu’il puisse s’apaiser de lui-même. POINT.
Cette prise de conscience date d’il y a 1 an et demi.
C’est si récent, oui, et pourtant c’est allé si vite : en 1 mois, les crises se sont apaisées, en 2 mois, les douleurs se sont évanouies, en 3 mois, j’avais retrouvé une vie sociale et personnelle équilibrée et la vie m’a enfin souri. J’étais guérie.
Cette prise de conscience, j’aurais aimé l’avoir il y a 15 ans. Mais je n’en serais pas là aujourd’hui. Et c’est grâce à toutes ces recherches, ces ratés et ces nombreuses expériences que je peux enfin dire que la solution est à la portée de tous.
L’humain est devenu trop complexe dans ses pensées et ses habitudes qu’il espère que la guérison se trouvera dans une dose miracle de ce curcuma étincelant vendu par le Docteur Mamour sur France 5.
Mais au final, la réponse se trouve dans la simplicité : dans une alimentation ancestrale, brute, vivante et adaptée, dans un apport nutritif suffisant vis à vis de notre société actuelle, dans une routine heureuse qui apaise ton anxiété, dans le câlin d’un animal ou de ton humain préféré, dans la lumière naturelle que tu vois simplement en levant les yeux, dans un sommeil régulé par ta mélatonine naturelle, dans un respect des saisons et de leur énergie unique, dans une marche douce et consciente en pleine nature, dans ta facilité à dire non quand tu en ressens le besoin, dans une heure quotidienne passée rien que pour toi, dans un temps d’activité physique ludique et agréable, dans une nouvelle activité créative insoupçonnée, dans un travail passion qui arrive à te faire oublier l’heure.
Un retour aux choses simples pour en finir avec la survie quotidienne qui t’épuise.